La maladie de la ligne blanche est une affection des pieds équins qui peut éventuellement provoquer de la douleur et une boiterie. Ce trouble touche la muraille du sabot d’un ou de plusieurs pieds à la fois.

La maladie de la ligne blanche commence par un décollement des couches adjacentes de la muraille du sabot à partir de la pince, des quartiers ou des talons, qui sont alors infectés par des bactéries et des champignons.

Le décollement se produit entre la couche médiane et la couche interne dans la région sans pigments appelée la ligne blanche.

Au fur et à mesure que la cavité ainsi formée progresse vers la couronne, elle peut causer une grande douleur et beaucoup d’inconfort, et ainsi avoir une incidence sur la mobilité du cheval.

L’un des traitements couramment employés consiste à effectuer une résection du tissu affecté et à demander au maréchal-ferrant ou au pareur de faire un entretien approprié des pieds de l’animal pour favoriser son confort.

Il est important de stimuler la repousse des sabots après la résection pour guérir la maladie de la ligne blanche. Si vous avez besoin d’aide pour élaborer un régime alimentaire qui favorise la santé des pieds équins, n’hésitez pas à communiquer avec nos nutritionnistes.

Qu’est-ce que la maladie de la ligne blanche?

La maladie de la ligne blanche survient toujours après un décollement de la muraille du sabot, qui peut débuter à la pince, aux quartiers ou aux talons. Des bactéries ou des champignons peuvent alors infecter cette région et décomposer les tissus formant la muraille.

Le décollement de la muraille est relativement courant chez les chevaux, mais il ne mène pas toujours à la maladie de la ligne blanche. Les pareurs et les maréchaux-ferrants trouvent régulièrement dans les sabots des zones de décollement qui atteignent entre 0,5 et 2 cm de profondeur.

Certains chevaux dont la muraille est décollée peuvent ne jamais montrer de signes d’infiltration bactérienne ou fongique. Cette cavité peut alors être éliminée grâce à un parage régulier des sabots ou elle peut ne pas s’aggraver avec le temps. [1]

Chez les chevaux qui développent la maladie de la ligne blanche, des bactéries ou des champignons infiltrent la région du pied décollée. Ceux-ci produisent des enzymes qui décomposent la kératine, la principale protéine qui forme la muraille. Cette dégradation peut entraîner un décollement supplémentaire qui remonte progressivement vers la bande coronaire.

Les champignons présents à l’intérieur de la région décollée endommagent les cellules de la boîte cornée, affaiblissant éventuellement la structure du sabot, et menant à une baisse de performance et à une boiterie. [2]

La fourmilière du pied et l’onychomycose

Cette maladie porte plusieurs noms, notamment la fourmilière du pied, la maladie de la muraille et l’onychomycose. Cependant, on emploie parfois ces termes pour décrire un problème précis qui touche le sabot. [1]

Par exemple, on parlera de fourmilière lorsque le décollement se produit plus près de la sole du sabot. Cette maladie est souvent due à une forme inadéquate du sabot, y compris une pince longue ou un pied bot, qui diminue l’apport sanguin vers la région, entraîne la mort des tissus et cause le décollement de la muraille.

On emploie parfois le terme onychomycose lorsque l’on trouve les micro-organismes fongiques Trichophyton spp et Scopulariopsis brevicaulis[2]

Toutefois, l’onychomycose réfère spécifiquement à une infection fongique de la peau ou du lit des ongles. Ce n’est pas à ces endroits que l’infection fongique se produit chez les chevaux atteints de la maladie de la ligne blanche. [3]

Les facteurs de risque

On ne connaît pas encore la ou les causes précises du décollement de la muraille chez les chevaux.

La maladie de la ligne blanche peut toucher les chevaux de n’importe quels âge, sexe ou race. Elle peut se manifester dans un ou plusieurs sabots, chez les chevaux pieds nus ou ferrés.

Une enquête menée en 1996 sur les chevaux de course au Japon a révélé que 11,5 % de ces animaux étaient atteints de la maladie de la ligne blanche. Les répondants ont signalé la maladie grâce à l’évaluation visuelle d’une ligne blanche détériorée même chez les chevaux recevant un entretien régulier des sabots.

Dans cette enquête, la maladie touchait plus souvent les chevaux plus âgés, ceux de 4 et 5 ans, que ceux âgés de 2 ans. Les chercheurs ont également constaté que les lésions étaient plus susceptibles de se produire au niveau de la pince et qu’elles étaient plus fréquentes aux pieds antérieurs qu’aux pieds postérieurs. [4]

Parmi les facteurs de risque avancés qui peuvent causer le décollement de la muraille qui précède l’apparition de la maladie de la ligne blanche, on nomme ceux qui suivent : [1]

  1. La morphologie du sabot : certaines déformations du pied exercent une contrainte supplémentaire sur la muraille qui peut conduire à un décollement, y compris les pinces longues ou les talons fuyants, le pied bot ou les talons chevauchés.
  2. Les conditions détrempées et humides : ces conditions peuvent ramollir le sabot et permettre aux débris de pénétrer dans la région décollée, et aux bactéries et aux champignons de s’y infiltrer.
  3. Les conditions chaudes et arides : ces conditions peuvent fragiliser le sabot qui est alors plus enclin aux seimes, aux fissures et au décollement de la muraille.
  4. Les dommages vasculaires : les blessures ou une déformation du sabot qui nuisent à l’apport sanguin vers la muraille peuvent provoquer la mort des tissus et le décollement de la paroi.

Diminuer le risque

L’entretien régulier des pieds du cheval pour éliminer les saletés accumulées sur la sole réduit le risque que des impuretés et des agents pathogènes pénètrent dans les régions décollées de la muraille.

De bonnes pratiques de maréchalerie sont également essentielles pour favoriser une morphologie convenable du sabot et minimiser les contraintes mécaniques excessives qui peuvent perpétuer le décollement de la muraille.

Il peut être difficile d’éviter les conditions humides. Cependant, si l’on a le choix, on peut diminuer les risques en évitant de mettre le cheval dans un pré humide. Les lavages ou les douches répétés peuvent nuire à la santé des pieds et il vaut mieux les éviter lorsque c’est possible.

Les signes de la maladie de la ligne blanche

Les chevaux manifestent rarement de signes d’inconfort avant que le décollement de la muraille et la maladie de la ligne blanche ne soient très avancés.

Les pareurs ou les maréchaux-ferrants peuvent remarquer un décollement de la muraille lors des entretiens réguliers. Selon la profondeur de la cavité, il peut être possible d’éliminer les impuretés et d’atteindre la région où la muraille et la ligne blanche sont solidement soudées.

Si la cavité est profonde, la région peut se remplir de matière cornée poudreuse gris-blanc, signalant des dommages aux tissus.

Les premiers signes de maladie de la ligne blanche incluent : [1]

  • une sole sensible;
  • la présence temporaire de chaleur dans les pieds;
  • l’aplatissement de la sole dans la région adjacente au décollement;
  • une muraille qui pousse lentement;
  • un son creux lorsqu’on tapote la muraille;

Dans les cas plus avancés, on peut constater des changements notables à la forme de la boîte cornée. La jonction entre la muraille et la phalange distale peut être affaiblie, ce qui peut provoquer une rotation et des changements de morphologie du pied.

Lorsqu’il y a rotation, on peut apercevoir une indentation, c’est-à-dire une concavité ou un « creux », dans une partie du sabot et un renflement du côté opposé.

Les chevaux qui ont progressé vers cet état avancé de décollement de la muraille et de maladie de la ligne blanche présentent habituellement une boiterie et de l’inconfort.

Dans les cas avancés, lorsque le décollement a progressé de manière importante, le sabot peut se déformer et la phalange distale peut subir une rotation à l’intérieur de la boîte cornée. Ces cas requièrent une réadaptation poussée avec une ferrure orthopédique et du repos en stalle.

Le diagnostic

Le diagnostic s’appuie généralement sur l’observation d’un décollement de la muraille du sabot à l’endroit où la ligne blanche paraît plus large et moins dure que la normale.

On peut également constater une texture cireuse dans cette région qui peut être remplie de matière cornée gris-blanc, ou encore un liquide noirâtre qui suinte de la région décollée. [1]

Si le cheval présente de l’inconfort, on peut administrer un analgésique local pour identifier l’endroit précis qui déclenche la réaction douloureuse.

Les radiographies peuvent être utiles pour constater l’étendue du décollement et détecter une rotation éventuelle dans la boîte cornée. Ces images peuvent permettre de distinguer la maladie de la ligne blanche de la laminite sans décollement de la muraille.

Lors de certaines études scientifiques, les chercheurs ont isolé les champignons et les bactéries à partir d’échantillons prélevés dans la région touchée du sabot. [2] Toutefois, cette technique de diagnostic est rare, car l’échantillon peut facilement être contaminé et fournir des informations peu fiables.

Le traitement et le rétablissement

Le traitement et la récupération du sabot reposent sur des soins de maréchalerie par un professionnel compétent et une résection du tissu affecté. [1]

Aux premiers stades, lorsque le décollement de la muraille est minime, le pareur ou le maréchal-ferrant peut choisir de colmater la cavité avec du mastic médicamenté avant de poser les fers, le cas échéant.

Il importe de résoudre tous les problèmes de morphologie sous-jacents du sabot, tels que les pinces longues et les talons fuyants, afin de diminuer les contraintes mécaniques qui peuvent perpétuer le décollement de la muraille.

Le maréchal-ferrant peut devoir mettre en œuvre des techniques de ferrage spécifiques pour rectifier les déformations de la muraille. Il peut aussi améliorer le confort du cheval en posant une ferrure orthopédique qui redistribue la charge subie par la sole et l’éloigne de la région endommagée. [1]

Cette technique peut aider à prévenir un décollement supplémentaire de la muraille et à réduire les risques de rotation de la phalange distale et de boiterie.

La résection de la muraille

Dans les cas avancés où le décollement a considérablement progressé vers le haut, il est probable de devoir procéder à une résection de la muraille. Cette intervention consiste à retirer la muraille extérieure du sabot pour exposer la région touchée.

La résection s’étend vers le haut et latéralement autour de la région touchée pour s’assurer que les bords de la découpe sont des zones où la muraille adhère solidement aux structures sous-jacentes du pied.

La région réséquée doit demeurer à nu et sèche pendant que la muraille repousse. Les stratégies pour garder la zone réséquée propre et sèche pendant la repousse incluent ce qui suit : [1]

  • étendre de la litière sèche comme de la sciure ou des copeaux de bois;
  • garder la litière propre et sèche;
  • éviter les mises en liberté dans des conditions humides;
  • retarder la mise en liberté matinale jusqu’à ce que la rosée ait disparu;
  • éviter de mettre au cheval des hipposandales qui peuvent emprisonner l’humidité.

Le pareur ou le maréchal-ferrant doit entretenir la région fréquemment à mesure qu’elle repousse. Il peut être nécessaire de faire venir le pareur ou le maréchal-ferrant aussi souvent que toutes les deux semaines pour favoriser une bonne guérison du pied.

Il est conseillé de nettoyer quotidiennement la zone réséquée avec une brosse métallique. [1]

Après la récupération complète, le sabot aura repoussé et la région réséquée aura complètement disparu. Le maréchal-ferrant devra alors examiner soigneusement la jonction entre la sole et la muraille selon un programme d’entretien régulier de la ferrure toutes les quatre ou cinq semaines.

Le pronostic

Avec l’aide soutenue d’un professionnel de la santé des pieds compétent, les sabots repoussent sainement et guérissent complètement dans la majorité des cas.

Dans un rapport anecdotique réalisé par des maréchaux-ferrants qui ont traité plus d’une centaine de cas de maladie de la ligne blanche, 70 % des sujets se sont rétablis complètement. [1]

Les 30 % restants ont été perdus de vue ou les propriétaires n’ont pas respecté le calendrier d’entretien des pieds.

Les chevaux qui se sont rétablis de maladie de la ligne blanche courent un risque plus élevé de subir à nouveau un décollement de la muraille. Ces chevaux doivent être surveillés attentivement pendant les entretiens de routine des sabots afin de détecter rapidement le décollement de la muraille et de leur prodiguer les soins appropriés.

Lorsque c’est possible, il est préférable de retirer toute partie décollée de la muraille jusqu’à l’endroit où la jonction est robuste.

La prévention

La ou les causes exactes du décollement de la muraille et de la maladie de la ligne blanche qui s’ensuit ne sont pas bien définies. Les scientifiques n’ont pas encore établi de directives précises pour les prévenir.

Cependant, il convient de respecter les principes fondamentaux qui soutiennent la santé et stimulent la pousse des sabots pour tous les chevaux.

L’entretien adéquat des sabots équins

La prévention et le maintien de la santé des pieds passent par un entretien régulier des sabots. On doit curer régulièrement les sabots du cheval pour éliminer la saleté et les impuretés accumulées sur la sole, afin de réduire le risque d’infiltration de microbes par les seimes ou les fissures.

Les services d’un pareur ou d’un maréchal-ferrant compétent doivent être une priorité en vue de conserver une jonction robuste entre la muraille et la sole du pied. Celui-ci pourra aussi rectifier les problèmes éventuels, comme les pinces longues ou les talons fuyants.

L’entretien adéquat des pieds permet une bonne répartition des charges subies par le sabot et diminue potentiellement les contraintes mécaniques qui peuvent exacerber le décollement de la muraille.

L’humidité excessive joue également un rôle dans le ramollissement du sabot et le rend plus vulnérable à la dégradation et aux infections microbiennes. Sous l’effet de l’humidité, la muraille gonfle et se dilate.

Dans la mesure du possible, il est préférable d’éloigner le cheval de la source humide, soit en le mettant à l’intérieur pour la nuit ou en le gardant dans un enclos de sable asséché. Lorsque les conditions sont humides, on peut ajouter de 2 à 3 cuillères à soupe de sel à l’huile ou au produit hydratant pour sabots et l’appliquer quotidiennement.

Le sel attire naturellement l’eau; l’application de sel sur la muraille peut aider à évacuer l’humidité. [5]

Les régimes alimentaires pour favoriser la santé des pieds équins

La muraille est un tissu dense qui croît lentement et qui contient une grande quantité de kératine.

Pour une synthèse optimale de la kératine et pour stimuler la pousse des sabots, plusieurs nutriments essentiels sont nécessaires. Ceux-ci incluent la biotine, le zinc, le cuivre et les acides aminés.

  • La biotine : cette vitamine B est un cofacteur important de plusieurs enzymes et fournit le soufre nécessaire à la fabrication de la kératine.
  • Le zinc et le cuivre : un bon équilibre des microéléments que sont le zinc et le cuivre soutient la synthèse de la kératine et fournit une protection antioxydante.
  • Les acides aminés : la kératine, comme toutes les protéines, est composée d’acides aminés.

La science a clairement établi le lien entre la biotine et la santé des sabots. Le cheval doit recevoir au moins 20 mg de biotine dans sa ration quotidienne pour favoriser la pousse des sabots et la guérison de la maladie de la ligne blanche.

Plusieurs études ont montré que de 15 à 20 mg de biotine par jour sont bénéfiques pour améliorer la dureté des sabots et accélérer leur croissance. Les races plus grandes ou les chevaux qui effectuent des travaux lourds peuvent bénéficier d’une dose s’élevant jusqu’à 30 mg par jour. [6][7][8][9][10]

Le cuivre et le zinc

Une étude a constaté une incidence plus faible de décollement de la muraille et de maladie de la ligne blanche chez les chevaux dont les besoins en cuivre et en zinc étaient comblés.

Il est important de donner la bonne quantité de cuivre et de zinc, mais il est tout aussi crucial de respecter l’équilibre des proportions et de s’assurer de fournir ces éléments sous une forme digestible. [11]

Le zinc, le cuivre et le fer sont en concurrence, car ils empruntent les mêmes voies d’absorption dans l’intestin. [12] Un niveau élevé de fer dans l’alimentation peut nuire à l’absorption du zinc et du cuivre et contribuer aux problèmes de santé des pieds équins.

Les nutritionnistes équins visent généralement un rapport fer/zinc/cuivre de 4:3:1. Cette proportion optimise l’absorption du zinc et du cuivre et minimise l’interférence du fer.

Le taux de fer est habituellement élevé dans les fourrages et dans l’eau. La quantité de fer contenue dans les régimes alimentaires des équidés dépasse souvent leurs besoins, ce qui peut contribuer à une mauvaise santé des pieds.

Il est fortement conseillé d’éviter les aliments contenant du fer ajouté. Celui-ci est souvent énuméré dans la liste des ingrédients en tant que sulfate ferreux, oxyde de fer ou complexe d’acides aminés du fer, entre autres désignations.

D’autre part, il est important de vérifier que le supplément minéral et vitaminique du cheval contient du cuivre et du zinc sous forme organique plutôt qu’inorganique. L’organisme absorbe et utilise plus facilement les oligo-éléments sous forme organique.

Parmi les exemples de minéraux sous forme organique, on compte les protéinates de zinc et de cuivre qui fournissent ces minéraux liés à des acides aminés. Cette association permet aux minéraux d’être absorbés dans l’intestin de la même manière que les acides aminés, en contournant les canaux cuivre/zinc/fer et en évitant les interférences avec le fer.

Les acides aminés

La protéine de kératine contenue dans les sabots est composée d’une chaîne d’acides aminés liés entre eux et repliés pour former la bonne structure. Cet état requiert plusieurs acides aminés essentiels qui doivent faire partie de l’alimentation du cheval, notamment la lysine, la méthionine et la thréonine.

Les régimes pauvres en protéines peuvent ne pas contenir ces acides aminés. Les sources de protéines telles que le tourteau de soja ou le foin de luzerne sont de bons choix pour hausser l’apport en protéines et en acides aminés de l’alimentation.

Les suppléments pour stimuler la pousse des sabots

Le supplément de vitamines et de minéraux AminoTrace+ de Mad Barn fournit 20 mg de biotine par portion, ainsi que du zinc et du cuivre sous forme organique dans une proportion équilibrée.

Ce supplément contient également des acides aminés ajoutés pour aider à répondre aux exigences d’une synthèse optimale des protéines dans l’organisme. AminoTrace+ procure également l’ensemble des vitamines B, de la vitamine E d’origine naturelle, du magnésium et une formule complète de nutriments supplémentaires dont les chevaux ont besoin dans leur alimentation.

AminoTrace+

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En savoir plus

  • Minéraux à un équilibre correct
  • Soutient la santé métabolique
  • Sensibilité à l'insuline
  • La croissance des sabots

Les chevaux qui souffrent de problèmes de santé des pieds chroniques, tels que le décollement de la muraille ou la maladie de la ligne blanche, ou encore dont l’alimentation contient un apport élevé en fer, devraient recevoir le supplément AminoTrace+ pour stimuler la pousse de sabots robustes et sains.

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