Le meilleur moyen de favoriser la santé et le bien-être des chevaux est de leur donner une alimentation axée principalement sur le fourrage. En revanche, il n’est pas toujours facile de connaître la quantité de foin requise pour bien les nourrir.

Les chevaux qui ont le choix et qui peuvent accéder librement (à volonté) à une alimentation à base de foin seulement mangent généralement une quantité de matière sèche qui équivaut à 1,5 à 3 % de leur masse corporelle.[1] Pour un cheval adulte normal, cela représente de quatre à huit galettes de foin environ par jour.

Le manque de foin accroît le risque de voir apparaître des troubles de santé digestive comme les ulcères gastriques et le dysfonctionnement de l’intestin postérieur.[2] Les comportements stéréotypés tels que le tic d’éructation et le tic de l’ours sont également plus fréquents chez les chevaux dont on restreint l’apport en fourrage.[3]

Cela dit, une surconsommation de foin ou un foin trop calorique pour les besoins du cheval peut mener à une prise de poids et à un risque accru de développer le syndrome métabolique équin et la laminite.

Pour les chevaux en surpoids, il est parfois nécessaire de limiter l’apport de fourrage afin de favoriser la perte de poids et de préserver la santé de leur métabolisme. Un nutritionniste équin peut être une aide précieuse pour calculer la quantité de foin qui convient à chaque cheval et prodiguer des conseils de gestion alimentaire.

Le meilleur moyen de déterminer la quantité de foin nécessaire pour un cheval donné est de nous envoyer un échantillon pour procéder à une analyse. Une fois que l’on connaît le contenu calorique et le profil nutritionnel du foin, on peut être certain de donner la quantité qui répond aux besoins individuels de chaque animal.

L’importance du foin dans l’alimentation

Les chevaux ont naturellement évolué pour passer de 50 à 60 % de leur temps à brouter des fourrages grossiers riches en fibres, notamment des graminées, des légumineuses et d’autres végétaux. [4]

Les chevaux ont un estomac relativement petit comparativement aux autres mammifères. Ils doivent donc manger de nombreux petits repas toute la journée et toute la nuit. Les chevaux sauvages broutent du fourrage en permanence. Ils ont rarement l’estomac vide. [5]

Il faut donc veiller à ce que le cheval ne reste pas sans fourrage pendant de longues périodes. Le meilleur moyen d’imiter l’horaire et le mode d’alimentation naturels du cheval est de lui fournir en tout temps du fourrage à volonté.

L’accès restreint au foin

Les pratiques de gestion modernes peuvent interférer avec les comportements alimentaires naturels des chevaux. Les chevaux ont parfois un accès limité au fourrage et reçoivent plutôt deux ou trois repas de concentrés riches en calories.

Ce changement qui appauvrit l’apport en fibres et hausse l’apport en sucre et en amidon peut compromettre leur santé et nuire à leur comportement.

L’accès limité au fourrage et les repas à haute teneur en céréales accroissent le risque de voir se manifester les conséquences suivantes: [2][6][7]

Si le cheval a besoin que son alimentation contienne moins de calories, il vaut mieux éviter de restreindre le foin. On se tournera plutôt vers des moyens de réduire son apport calorique en ralentissant sa consommation et en choisissant un fourrage de qualité inférieure.

On peut diminuer l’apport calorique en installant une mangeoire ou un filet d’alimentation lente, en dispersant le foin autour du paddock ou de la stalle, en faisant tremper le fourrage ou en remplaçant une petite partie du foin par de la paille.

L’alimentation axée principalement sur le fourrage

Un cheval normal de 500 kg (1 100 lb) devrait consommer entre 7,5 et 15 kg (entre 16,5 et 33 lb) de fourrage par jour ou de 4 à 8 galettes de foin.

En maximisant la consommation de fourrage et en diminuant la dépendance aux moulées complètes à base de céréales, on favorise la santé et le bien-être général du cheval.

Pour la plupart des chevaux à l’entretien, le foin procure suffisamment de calories et de protéines pour répondre à leurs besoins alimentaires. Les chevaux de haute performance, les juments qui allaitent et les poulains en croissance peuvent avoir besoin de calories et de protéines supplémentaires. Celles-ci peuvent provenir de la pulpe de betterave, de suppléments de matières grasses, de cubes de foin ou de tourteau de soja.

Les chevaux qui reçoivent un régime alimentaire exclusivement composé de fourrage ont besoin de vitamines et de minéraux supplémentaires, car le foin seul ne comble pas leurs besoins nutritionnels.

On choisit alors un supplément concentré de vitamines et de minéraux, par exemple Omneity de Mad Barn, qui ne contient pas d’agent de remplissage ou de sucres ajoutés.

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5 facteurs clés à considérer lors de l’alimentation au foin

De nombreux facteurs influent sur la quantité de foin qu’il faut donner aux chevaux, notamment la qualité du fourrage, l’état de chair, la reproduction, le niveau d’activité et le climat local.

La plupart des chevaux doivent manger quotidiennement une quantité de matière sèche qui correspond à environ 2 % de leur poids vif. [1] Pour un cheval de 500 kg (1 100 lb), cela représente 10 kg (22 lb) de fourrage.

Le calcul de l’apport en foin doit par ailleurs tenir compte des conditions de gestion, des autres aliments compris dans la ration, des troubles de santé, de la présence de comportements stéréotypés et des problèmes dentaires.

Nous vous invitons à demander conseil à un nutritionniste et à un vétérinaire équin pour élaborer un régime alimentaire équilibré pour votre cheval. N’oubliez pas les cinq facteurs clés suivants dont il faut tenir compte pour la distribution du foin.

1) Le score d’état de chair

Le score d’état de chair est une méthode qui permet d’évaluer le bilan énergétique du cheval en constatant ses dépôts adipeux.

L’échelle de Henneke est le système le plus populaire. Il consiste à attribuer au cheval une note de 1 (émacié) à 9 (très obèse). [8]

Les propriétaires doivent surveiller régulièrement l’état de chair de leur cheval pour déterminer si son alimentation répond à ses besoins caloriques et s’il est nécessaire d’ajuster sa ration.

  • Les scores de 1 à 3: la ration du cheval ne lui fournit pas assez de calories.
  • Les scores de 4 à 6: la ration du cheval lui fournit un apport calorique qui répond à peu près à ses besoins.
  • Les scores de 7 à 9: la ration du cheval contient trop de calories.

Si le cheval est en insuffisance pondérale, soit un score d’état de chair de 1 à 3, il faut hausser l’apport calorique de sa ration pour améliorer son état. Cela doit se faire en procédant avec rigueur sous la supervision d’un nutritionniste et d’un vétérinaire équin.

Pour favoriser la prise de poids, on donne au cheval une grande quantité de fourrage appétent de bonne qualité, notamment le foin de luzerne immature.

Dans le cas des chevaux en surpoids dont le score d’état de chair se situe entre 7 et 9, il faut diminuer l’apport calorique de la ration en éliminant les sources de calories excédentaires comme les moulées complètes et les céréales.

Dans certains cas, on peut devoir restreindre l’accès au fourrage à 1,5 % du poids vif pour promouvoir la perte de poids.

Il ne faut jamais réduire l’apport en foin en deçà de cette quantité, sauf sous la supervision d’un vétérinaire.

2) La maturité et la qualité du foin

La qualité nutritionnelle et l’appétence du foin peuvent affecter la quantité que le cheval est disposé à manger. Ces facteurs dépendent en grande partie du stade de maturité de la plante au moment de la coupe et de la mise en balles.

Bien qu’une évaluation visuelle puisse donner une idée de sa maturité et de son profil nutritionnel, l’analyse du foin est le seul moyen de connaître réellement sa teneur en protéines, en fibres et en calories.

Au fur et à mesure que la légumineuse ou la graminée mûrit, son profil nutritionnel subit les changements suivants:

  • une baisse de teneur en protéines;
  • une diminution d’énergie digestible;
  • une hausse de teneur en fibres;
  • une baisse de teneur en glucides non structuraux (sucre + amidon).

Le foin mature contient un pourcentage de tiges plus élevé par rapport aux feuilles ou aux brins d’herbe. Cela se traduit par une teneur globale en fibres plus élevée et une teneur en protéines plus basse.

En général, la quantité plus élevée de fibres (fibres au détergent neutre ou FDN) dans le foin mature est corrélée à une consommation volontaire moindre du foin en question. Le fourrage dont le taux FDN supérieur à 65 % est moins appétent et sa digestibilité est plus faible. [9]

Le foin mature convient aux chevaux à l’entretien ou qui travaillent peu, car l’accès en libre choix leur permet d’exprimer un comportement alimentaire naturel sans ingérer trop de calories.

Ceux qui ont des besoins caloriques plus élevés, c.-à-d. les animaux en croissance, ceux qui font beaucoup d’exercice ou les juments qui allaitent, doivent être nourris avec du foin de grande qualité. On aura coupé ce dernier aux stades de croissance plus précoces. Il contient plus de calories et de protéines.

3) Les pratiques de gestion

Il faut d’autre part tenir compte de la méthode et de l’horaire de distribution du foin. À l’état naturel, les chevaux broutent jusqu’à 18 heures par jour. La physiologie de leur système digestif est adaptée à la consommation fréquente de petits repas. [10] [11]

Les pratiques de gestion doivent tenter d’imiter ce comportement alimentaire naturel. L’objectif est de s’assurer que le cheval a un accès constant au fourrage et ne passe jamais plus de quatre heures sans manger. [10]

On peut mettre en œuvre plusieurs stratégies pour prolonger la durée des repas, notamment celles qui suivent :

  • On peut installer des dispositifs d’alimentation lente, par exemple des filets à foin. [12]
  • L’accès à volonté à du foin moins nutritif permet une consommation maximale de fourrage sans fournir trop de calories.

La disponibilité et la qualité des pâturages ont aussi une incidence sur la quantité de foin nécessaire. Le pâturage peut remplacer une partie ou la totalité du foin dans l’alimentation s’il est de bonne qualité et s’il est suffisamment disponible. L’herbe doit être dense et mesurer de 15 à 20 centimètres (de 6 à 8 pouces). [13]

Dans le cas d’un cheval qui vit dans un enclos dénué d’herbe ou dans un surpâturage, le foin doit constituer la base de son alimentation. Il en aura besoin pour compléter ce qu’il réussit à brouter durant le temps passé au pré.

4) La dentition

Les chevaux âgés ou ceux qui ont des problèmes dentaires peuvent avoir du mal à mâcher le foin fibreux et mature. Ils peuvent avoir besoin d’un foin plus souple et moins mûr qui est plus facile à mastiquer que le foin grossier et mature.

Si le cheval ne peut pas manger en toute sécurité les longues fibres sans risquer une obstruction œsophagienne, on doit remplacer le foin par des cubes ou des granulés de fourrage. [14] Ceux-ci doivent être divisés en plusieurs repas pour lui procurer des repas lui permettant d’exprimer son comportement de recherche de nourriture tout au long de la journée.

Il est préférable de faire tremper les cubes ou les granulés de fourrage. En effet, la petite taille des particules peut faire en sorte que le cheval mange plus rapidement, ce qui accroît le risque d’obstruction œsophagienne. [15]

5) Le temps froid

Le froid hausse les besoins caloriques de base du cheval, car ce dernier brûle des calories pour maintenir sa température corporelle. [14]

Le seuil thermique critique des chevaux se situe entre -15 °C et 5 °C. [1][17] Il s’agit de la température en dessous de laquelle le taux métabolique et les besoins caloriques du cheval augmentent.

Le seuil thermique critique de chaque individu dépend de facteurs tels que l’âge, l’état de chair, l’épaisseur du poil, le port ou l’absence d’une couverture, l’acclimatation à la température et au climat, notamment en ce qui a trait aux précipitations. [11][18]

Les chevaux adultes en bonne santé peuvent maintenir leur état de chair par temps froid sans être couverts, mais ils auront besoin de plus de foin que les animaux qui portent une couverture. En hiver, un cheval adulte peut manger une quantité de foin équivalant jusqu’à 3 % de son poids vif basé sur la teneur en matière sèche. [11]

Les études rapportent que les chevaux non couverts mangent une quantité de foin supplémentaire qui correspond à 0,2 % de leur poids vif (basé sur la teneur en matière sèche) comparativement aux chevaux qui portent une couverture. [11]

Un cheval de 500 kilogrammes qui mange 10 kilogrammes de matière sèche de foin par temps chaud peut en ingérer 11 kilogrammes par temps froid. Bien que cette hausse puisse sembler marginale, elle représente environ sept galettes de foin par jour en hiver contre six galettes en été.

L’accès au foin à volonté pendant l’hiver est idéal pour les chevaux qui ne sont pas en surpoids. Tous les chevaux ont besoin de plus de foin lorsque la température baisse sous leur seuil thermique critique.

Mesurer la quantité de foin à donner aux chevaux

La plupart des propriétaires déterminent la quantité de fourrage donnée aux chevaux en comptant les galettes de foin. Les balles de foin carrées comptent habituellement entre 12 et 16 galettes.

La petite balle carrée de foin de graminées ordinaire à deux ficelles pèse entre 27 et 32 kg (entre 60 et 70 lb). Les grosses balles à trois ficelles peuvent peser entre 45 et 57 kg (entre 100 et 125 lb).

Une seule galette de foin pèse normalement entre 1,7 et 2,7 kg (entre 4 et 6 lb) et les chevaux reçoivent la plupart du temps de 4 à 8 galettes de foin par jour.

En revanche, le poids des différentes galettes et des balles de foin peut varier considérablement. Il peut dépendre du type de fourrage, de la teneur en humidité, de la grosseur des galettes et de la méthode de mise en balles.

Mode d’emploi pour peser le fourrage

Pour cette raison, il importe de peser le foin pour s’assurer que le cheval reçoit une quantité de fourrage qui lui procure suffisamment de calories.

On peut le faire à l’aide d’une balance suspendue en suivant les étapes suivantes :

  1. On place d’abord le foin ou les cubes de foin dans un seau ou un filet à foin vide.
  2. On suspend le seau ou le filet à foin vide et on remet la balance à zéro.
  3. On remplit ensuite le seau ou le filet avec la quantité de foin que reçoit actuellement le cheval.
  4. On pèse le seau ou le filet à foin rempli.
  5. On note le poids du foin à la distribution.
  6. On convertit ensuite ce nombre pour connaître sa teneur en matière sèche.

Le poids à la distribution contre la teneur en matière sèche

Les nutritionnistes équins examinent les profils nutritionnels de la matière sèche de différents fourrages plutôt que ceux de la quantité de foin distribuée.

La matière sèche mesure la masse de l’aliment une fois qu’on a éliminé sa teneur en eau. En examinant les teneurs en matière sèche des aliments pour animaux, on peut mieux comparer les concentrations de nutriments et améliorer la précision du régime alimentaire.

La teneur moyenne en matière sèche du foin se situe entre 85 et 90 % avec une teneur en humidité de 10 à 15 %. Le rapport d’analyse du foin indique cette valeur.

La plupart des chevaux doivent consommer quotidiennement une quantité de matière sèche qui correspond à environ 2 % de leur poids vif. Pour un cheval de 500 kg (1 100 lb), cela équivaut à 10 kg (22 lb) de matière sèche par jour.

Convertir la matière sèche en poids à la distribution

On convertit les valeurs à la distribution en les divisant par le pourcentage de matière sèche contenu dans le foin. Par exemple, pour donner 10 kg de matière sèche à partir d’un foin contenant 15 % d’humidité, on doit compter 11,8 kg de foin (poids à la distribution).

On divise le poids de la matière sèche par le pourcentage de matière sèche comme suit:

10 kg / 0,85 = 11,8 kg à la distribution.

Convertir le poids à la distribution en teneur en matière sèche

Inversement, pour calculer le poids de la matière sèche à partir du poids à la distribution, on multiplie le poids à la distribution par le pourcentage de matière sèche.

Par exemple, si le foin pèse 12 kilogrammes et que l’on désire connaître la quantité de matière sèche donnée au cheval, le calcul est le suivant :

12 kg x 0,85 = 10,2 kg de matière sèche.

Étant donné que la teneur en humidité peut varier d’un foin à l’autre, la pesée du fourrage garantit que la quantité calculée pour équilibrer l’alimentation du cheval est exacte.

Des exemples de régimes alimentaires à base de foin

Vous trouverez ci-dessous des exemples de régimes d’alimentation de foin pour les poneys et les chevaux adultes en fonction du changement d’état de chair visé.

Ces tableaux se fondent sur un foin de graminées de qualité moyenne qui contient 13 % d’humidité, 10 % de protéines brutes et 2 Mcal/kg d’énergie digestible.

Tableau 1: exemple de régime alimentaire à base de fourrage pour un poney de 200 kg à l’entretien

OBJECTIF FOIN
(POIDS À LA DISTRIBUTION)
GALETTES DE FOIN CALORIES
(% DES BESOINS)
Perte de poids 3,5 kg
(7,7 lb)
2 91%
Maintien du poids 4 kg
(8,8 lb)
2,25 104%
Prise de poids 4,5 kg
(10 lb)
2,5 120%

 

Tableau 2: exemple de régime alimentaire à base de fourrage pour un cheval de 500 kg à l’entretien

OBJECTIF FOIN
(POIDS À LA DISTRIBUTION)
GALETTES DE FOIN CALORIES
(% DES BESOINS)
Perte de poids 9 kg
(20 lb)
5 96%
Maintien du poids 9,8 kg
(22 lb)
5,5 102%
Prise de poids 11,5 kg
(25 lb)
6,5 120%

 

Le climat régional et les conditions de récolte peuvent avoir un impact sur la capacité des producteurs à mettre le foin en balles. Si c’est le cas, le haylage et l’ensilage, des fourrages entreposés à des niveaux d’humidité plus élevés, peuvent faire partie de l’alimentation des équidés.

La plupart des fourrages procurent une quantité suffisante de macrominéraux, comme le calcium, le phosphore et le potassium. Mais ils contiennent rarement un niveau adéquat d’oligo-éléments, notamment le zinc, le cuivre, le sélénium et le manganèse. [16]

Le foin coupé contient aussi peu de vitamine E. Les chevaux ont par conséquent besoin d’une supplémentation pour maintenir leur état antioxydant.

On peut compléter le régime alimentaire à base de fourrage du cheval avec un supplément concentré de vitamines et de minéraux qui comble ses besoins en micronutriments en évitant de lui fournir un excès de calories et de protéines.

Omneity Premix de Mad Barn est un supplément complet de vitamines et de minéraux qui contient des oligo-éléments entièrement organiques et de la vitamine E. Il est conçu pour équilibrer la majorité des régimes équins composés uniquement de foin.

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Références

  1. National Research Council Nutrient Requirements of Horses. National Academies Press. 2007.
  2. Harris, P.A. et al. Review: Feeding conserved forage to horses: recent advances and recommendations. Animals. 2017.
  3. Thorne, J.B. et al. Foraging enrichment for individually housed horses: Practicality and effects on behaviour. Appl Anim Behav Sci. 2005.
  4. Kiley-Worthington, M. The behavior of horses in relation to management and training — towards ethologically sound environments. J Equine Vet Sci. 1990.
  5. Mayes, E. and Duncan, P. Temporal Patterns of Feeding Behaviour in Free-Ranging Horses. Behav. 1986.
  6. Hoffman, R.M. Carbohydrate metabolism and metabolic disorders in horses. R Bras Zootec. 2009.
  7. Willing, B. et al. Changes in faecal bacteria associated with concentrate and forage-only diets fed to horses in training. Equine Vet J. 2010.
  8. Henneke, D.R. et al. Relationship between condition score, physical measurements, and body fat percentage in mares. Equine Vet J. 1983.
  9. Meyer, K. et al. The relationship between forage cell wall content and voluntary food intake in mammalian herbivores. Mammal Review. 2010.
  10. Dowler, L.E. and Siciliano, P.D. Prediction of hourly pasture dry matter intake in horses. J Equine Vet Sci. 2009.
  11. DeBoer, M. et al. Dry Matter Intake, Body Weight, and Body Condition Scores of Blanketed and Nonblanketed Horses in the Upper Midwest.. J Equine Vet Sci. 2020.
  12. Glunk, E.C. et al. The Effect of Hay Net Design on Rate of Forage Consumption When Feeding Adult Horses. J Equine Vet Sci. 2014.
  13. Cymbaluk, N.F. Thermoregulation of horses in cold, winter weather. Livest Prod Sci. 1994.
  14. Jarvis, N. et al. Nutrition considerations for the aged horse. Equine Vet Educ. 2017.
  15. Humer, E. et al. Characterizing the Moisture Expansion of Common Single and Mixed Equine Feeds by Their Water-Holding Capacity and Nutrient Composition. J Equine Vet Sci. 2018.
  16. Dominguez-Vara, I.A. et al. Mineral Status and Interrelationship in Soil, Forage, and Blood Serum of Horses in the Rainy and Dry Seasons. J Equine Vet Sci. 2017.
  17. Morgan, K. Thermoneutral zone and critical temperatures of horses. J Thermal Biol. 1998.
  18. Dugdale, A.H.A. et al. Effects of season and body condition on appetite, body mass and body composition in ad libitum fed pony mares. Vet J. 2011.